Page 36 - Ebook Des Newsletters 2019 de Guy Pujol
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Le 1 Mai 2019
Lettre d'Information de l'Arié...Joie
2019 / 8 : Notre Dame de Paris
Dans le chapitre intitulé " Notre-Dame ", Victor Hugo écrivait en 1831 :
"Sans doute, c'est encore aujourd'hui un majestueux et sublime édifice que l'église de Notre-Dame de
Paris, mais, si belle qu'elle se soit conservée en vieillissant, il est difficile de ne pas soupirer, de ne pas
s'indigner devant des dégradations, des mutilations sans nombre que simultanément le temps et les
hommes ont fait subir au vénérable monument, sans respect pour Charlemagne qui avait posé la
première pierre, pour Philippe-Auguste qui en avait posé la dernière ".
Alors qu’il avait aussi pressenti un incendie, voilà que près de 2 siècles après, la catastrophe arriva le 15
Avril 2019, avant le coucher du soleil.
L’ARIÉ….JOIE vous propose sa dernière création historique sur cette Grande Dame, vieille de plus de
850 ans, visitée par plus de 30 000 personnes par jour, soit environ 13 millions par an.
Cliquez sur le lien ci-dessous et Notre-Dame apparaîtra :
Mon 2° livre « Au Fil de l’Arize – Mon Ariège à Cœur ou Vers »
Merci à toutes celles et ceux qui ont passé commande. Le livre est en cours de tirage et sera mis en
vente au prix de 17 €, auquel viendront s’ajouter les 5 € de frais d’envois postaux, le livre dépassant les
250 g.
Je transmettrai à mes fidèles abonnés dans les prochains jours, un bon de commande pour qu’ils me
fassent parvenir leur chèque.
Mais d’ores et déjà, pour les adeptes des E.Book, le livre est accessible en commande dans la boutique
du site de l’ARIÉ….JOIE au prix de 12 €, à faire parvenir par chèque à : Guy PUJOL – 3 Chemin Entre les
Lagunes – 33610 CESTAS
http://bienvenue-chez-ariejoie.fr/la-boutique---ebook.php
Un extrait gratuit est consultable avec le lien ci-joint :
http://bienvenue-chez-ariejoie.fr/les-livres-du-mois.html
Nouvelle Newsletter transmise par Sendiblue
Pour ma 2° lettre, et malgré l’intérêt du reportage sur la Malaisie, les chiffres fournis par Sendiblue sont
sensiblement identiques à ceux du 1er envoi, avec un taux d’ouverture de message autour de 53 % sur
les 500 envois.
Après mon 3° envoi, j’attendrai le jour symbolique du 8 mai, célébrant depuis 1945 la Victoire des Alliés
et la Capitulation de l’Allemagne dans la Seconde Guerre Mondiale, pour recenser les noms des abonnés
qui n’ouvrent pas mes messages, fournis par mon routeur professionnel.
Considérant après 3 Lettres que mes reportages ne les intéressent pas, j’allègerai à nouveau mon fichier
abonnés, en informant les « désintéressés » de l’interruption de mes envois.
A quoi ça sert que Ducros il se décarcasse !!!! disait la publicité.
J’ai sélectionné dans les nombreux messages d’encouragement reçus ces derniers jours, les 3 qui à mes
yeux sont les plus représentatifs de l’esprit d’échange et de partage dans lequel je me reconnais
pleinement.
Yvette, À Guy que j'apprécie, Oh là là que se passe-t-il ? Evidemment j'ai lu ta lettre et son ton désabusé
me peine beaucoup, parce que bien que je le comprenne, il ne te correspond pas. Tu as un caractère
"battant" tu passes une grande partie de ton temps à te tourner vers les autres et comme c'est souvent le
cas de "ces autres" une bonne part doit te jalouser, ne trouvant ton attitude que NORMALE ! Encore un
petit peu de temps et c'est toi qui va devoir les remercier de bien vouloir te lire !
Il est vrai que lorsque l'on apprécie, on a tendance à ne pas l'exprimer suffisamment mais je suis
persuadée que beaucoup, et nous sommes majoritaires, pensent comme moi. Reprends ton souffle sous
le soleil du Sud-Ouest, qui sans doute est là pour te réchauffer le coeur en cette période de Pâques. Et
surtout continue à avancer.
A mon goût tu es sur le bon chemin. Je t'embrasse, fais une bise à Jo pour moi.
Noëlle-Louise, Cher Guy, c'est toujours avec plaisir que je reçois tes courriels. Combien de fois ai-je
regretté « de ne pas faire partie du voyage », mais l'âge venant j'ai décidé de m'occuper de mes
productions, poésies, conférences, peintures, environ 500 tableaux, et musique. Comme tu le vois je
m'occupe mais il fallait en passer par là.