Page 51 - Ebook Des Newsletters 2020 de Guy Pujol
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1 Prophétie n°34 - premier alinéa - 1557 " Lor l'an maudyt do dois
vinages, vyl mal ao nom da cervoise fera bière aos homes"
« En l’an maudit des deux vins, un mal affreux portant nom de
cervoise mettra les hommes en bière. »
Vin-Vin : il s’agit bien de l’an 2020. Nostradamus prévoit aussi que le mal
dont il parle portera un nom de bière et fait, sans le vouloir, un jeu de mots
à travers le temps, puissant, non !
2 Prophétie n° 34 - alinéa 3 - 1557 "Laou loyn le monde s'esveille,
escappée deu l'oisel de nuyt, la pefte noivelle gagnera les constrées
lyvres"
« Là où le monde s’éveille, échappée de l’oiseau de nuit, la peste
nouvelle gagnera les contrées libres. »
Là où le monde s’éveille… Le pays du soleil levant ? Quant à l’oiseau de
nuit, il fait bien sûr référence à la chauve-souris à qui on attribue la
contamination humaine. Quant à la peste nouvelle et aux contrées libres,
inutile de vous faire un dessin.
3 Prophétie n° 34 - alinéa 7 - 1557 "Por faÿte de l'asme esviter, de
becques de canarts les fols visages s'afublent"
« Pour éviter la faillite de l’âme, les masques s’affubleront de becs
de canard. »
Ici, outre l’image très parlante du bec de canard auquel les masques
s’apparentent, c’est bien cette notion de masque qui est intéressante : ce
ne sont pas les visages mais les masques qui s’affublent des dits becs, ce
qui signifie qu’un simple masque de chirurgien devra évoluer.
4 Prophétie n° 34 - alinéa 8 - 1557 "Quelsques lunoisons sufisent
aux becques por defauser. Lor, nostre monde rapetici sans
eschapoir devÿnt sarque por troy uitanes."
« En quelques lunaisons les becs feront défaut ; lors, notre monde
se rétrécira pour devenir cercueil scellé durant trois huitaines. »
Annonçant la pénurie de masques, Nostradamus prévoit également le
processus de quarantaine, décrivant le rétrécissement du monde en espace
scellé, pour trois huitaines, soit 24 jours.
5 Prophétie n° 34 - alinéa 6 - 1557 "Estrant por rebour d'eschemin
de Marc Pol nao fesdales royams, lou connils vorera e plasgue
multiplica."
« Entrant à rebours du chemin de Marco Polo dans nos royaumes,
le loup dévorera les lapins et la peste se répandra. »
Le chemin inverse de Marco Polo, c’est bien celui qu’a suivi le coronavirus
: de la Chine jusqu’en Italie, puis en Europe. Le loup qui dévora les lapins,
c’est bien sûr le virus qui se répand dans nos organismes.